Vous avez été consultés par mes services le 10 octobre 2006 concernant le guide délaboration et de lecture des études de dangers pour les établissements soumis à autorisation avec servitudes et des fiches dapplication des textes réglementaires récents.
Un millier de remarques et commentaires sont parvenus à mes services. Vous trouverez ci-joint sous forme de tableau une synthèse des remarques les plus significatives qui ont été formulées sur chaque document ainsi que les éléments que je souhaite porter à votre connaissance..
Je vous prie dagréer, Madame, Monsieur, mes sincères salutations.
Remarque
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Précision apportée
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Préciser que ce guide nest pas réglementaire
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Apportée dans la circulaire de diffusion
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Guide EDD trop prescriptif, notamment dans la représentation cartographique des zones deffets
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Les indications sur la représentation cartographique sont déterminées en corrélation avec limportance que constituent ces installations (Seveso AS) et les étapes à venir (présentation en CLIC
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Réclame le guide EDD pour les installations soumises à autorisation
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A venir. La priorité était de cadrer les EDD AS en vue des PPRT. Dans lintervalle, le principe de proportionnalité permet dapporter des réponses.
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Ce guide ressemble trop à un guide de lecture par lIIC et non aide à lélaboration
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Il reprend pourtant les grands principes du guide du 25 juin 2003 co-rédigé avec les représentants des exploitants et bureaux détude. Sa structure est par ailleurs calée sur le contenu et la démarche dune EDD.
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Ne souhaite pas faire apparaître dans lEDD le coût des mesures envisageables mais non retenues par lexploitant
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Mention enlevée, ceci ne relève pas directement de lEDD
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Ne souhaite pas faire apparaître tous les accidents imaginables, même non encore observés (dans laccidentologie)
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La proposition na pas été retenue. Compte tenu des textes, il faut faire apparaître tous les phénomènes dangereux et accident physiquement possibles. Ce nest pas parce quun phénomène na pas encore été répertorié dans laccidentologie quil ne peut pas survenir.
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Attention à larticulation avec les textes prescrivant des distances disolement, ex : IT 1989 pour les liquides inflammables :
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Les textes concernés sont en cours de révision sur cette question des distances disolement.
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Ne pas simplement citer le glossaire mais reprendre les définitions principales, comme sont repris les extraits de textes réglementaires
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Non, à cause de la lourdeur du document final. Le glossaire des risques technologiques a été largement diffusé (circulaire du 7 octobre 2005, disponible sur www.ecologie.gouv.fr et sur aida.ineris.fr).
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Suggère de rappeler quavec les mesures de prévention, on arrive à lERC si et seulement si elles sont défaillantes (on prend alors en compte leur probabilité de défaillance dans la détermination de la probabilité doccurrence de lERC) ; avec celles de limitation, on fait apparaître différents phénomènes dangereux en fonction de leur fonctionnement ou non (cest la logique de larbre dévénements).
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Pédagogique, la précision a été apportée.
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Demande de précision sur la notion déquilibre prévention/protection : est-ce globalement ou pour chaque scénario (chemin) ?
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Précision apportée, il sagit effectivement de chaque chemin.
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Evoque le besoin dune " échelle de gravité non humaine " sur lenvironnement au sens large
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Ce type déchelle nest effectivement pas repris dans lAM du 29 septembre 2005, mais elle existe (cf échelle de gravité des accidents de la directive Seveso, retravaillée par le BARPI).
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Demande si une fiche sur la probabilité viendra derrière
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a priori non
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Propose dajouter un paragraphe sur la prise en compte des effets de projection
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Notion reprise mais non développée. Le SEI réfléchit encore aux seuils les plus pertinents pour la prise en compte de ces phénomènes.
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Létude des meilleures technologies disponibles pourrait être évoquée
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Le guide insiste sur la réduction du risque à la source, même sans parler ouvertement de MTD
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Dans le cas détablissements complexes, avec plusieurs études de dangers, lindustriel devrait sassurer, outre de lexhaustivité, de la cohérence de ses différentes études de dangers.
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Remarque pertinente, la précision a été apportée.
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la notion " de proximité daéroport " devrait être précisée
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Cest notre objectif, discussions en cours avec les autorités compétentes sur le sujet
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Sur le statut du document et le caractère trop réglementaire quil risque de prendre en pratique (conduisant à des retards dans le lancement des PPRT), ainsi que sur " lapplicabilité " (pas aux EDD déjà remises, et en aucun cas à celles remises avant le 7/02/2006 cf PCIG non applicable avant cette date pour les AS).
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Le traitement sera effectué au cas par cas selon les "écarts ".
De manière générale, les EDD doivent respecter les grands principes énoncés par les fiches, mais pas nécessairement le détail (par exemple ici, les valeurs chiffrées)
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Quelles sont les sources de données consultables pour procéder à ce comptage ?
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Se renseigner en mairie/collectivité locale ou auprès de la DDE
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Rappeler lart 10 PCIG : en tenant compte des mesures constructives permettant de protéger les personnes
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Précision apportée
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" Il n'est pas cohérent d'évaluer de manière probabiliste l'occurrence de l'accident et d'évaluer de manière déterministe ou maximale la gravité; celle-ci doit être évaluée de manière probabiliste en fonction des niveaux d'occupation ou représenter l'occupation moyenne annuelle. C'est la seule façon de ne pas apporter de biais majeur sur les probabilités. ",: " prendre la gravité la plus pénalisante revient à une approche " déterministe " et nous souhaitons une approche basée sur la moyenne Par ailleurs, une moyenne pondérée est proposée au nom du " non-déterminisme "
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Larrêté ministériel mentionne le nombre de personnes " potentiellement exposées ", doù le max obligatoire (situation " la pire " en terme de gravité), éventuellement décotée en probabilité si effectivement peu fréquemment observée, mais dans ce cas prendre aussi (donc 2 accidents pour chaque phénomène) la gravité correspondant au cas le plus fréquemment observé.
Par ailleurs, le MEDD considère quune moyenne pondérée (qui ne peut correspondre à aucune des situations le jour de laccident) nest pas une approche probabiliste propre, mais accepte en revanche une liste des situations possibles, avec leur probabilité associée.
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Prise en compte dans le comptage des zones (bâtiments
) seulement partiellement incluses dans des zones deffets : compter la capacité totale ou seulement au prorata ?
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le total
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Capacité des ERP : mis en cause ; préférence pour utiliser la moyenne annuelle doccupation ou occupation probabilisée
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ce serait contraire au principe de " potentiellement exposées ", ne pas oublier le pire
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Question sur la prise en compte dans les ERP des salariés qui y travaillent (en plus du " public " à capacité globale doccupation, quel que soit le statut des occupants)
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Effectivement, il faut tenir compte de toutes les personnes potentiellement présentes et non seulement des " visiteurs ", mais généralement la proportion de salariés face à la capacité est faible.
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Gares : ne pas oublier les trains de voyageurs stationnés. Comptage sous évalué pour les trains ?
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A gérer selon le cas de figure.
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Voies de circulation : ne pas oublier la navigation fluviale de plaisance
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variante de la proposition sur la navigation fluviale
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Routes : chiffres surévalués (0.5 personnes par km et par centaine de véhicules/jour)
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a diminué à 0,4. De plus, il existe une seconde option dans la fiche que lexploitant peut utiliser
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Pourquoi distinguer le comptage pour les A et les AS?
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Chiffres plus " brutaux " mais plus simples à manipuler pour les A (principe de proportionnalité), utilisables par défaut, mais peuvent être affinés si cest utile, rien nempêche lexploitant dune IC A de compter comme pour un AS, mais cest plus lourd à gérer.
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Demande de définition du terme " plate-forme "
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nayant pas de définition, cette notion na jamais été reprise dans les critères
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Certaines contributions proposent de ne garder le traitement particulier des plates-formes (point 2.2 de la fiche) explicitement que pour les AS
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non, mais la notion de POI restreint a priori le champ
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Attention au lien entre MMR (sur la base dune gravité " réduite ", ne tenant pas compte des salariés du voisin) et PPRT : si lentreprise Y est dans une zone daléa suffisamment fort, elle doit pouvoir demander à bénéficier de son droit de délaissement. De même le PPRT devrait permettre de financer des protections des salariés de Y (ex salle blast-proof)
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Précisé dans la circulaire denvoi : les PPRT ne prennent pas en compte la gravité déterminée dans lEDD, cest en fonction de laléa que seront déterminées les mesures à prendre dans le cadre du plan.
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Ne pas chercher à disloquer les plates-formes !
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Ce nest effectivement pas le but de la DPPR. Notez que les salariés du voisin peuvent maintenant, sous conditions bien sûr, ne pas être pris en compte dans lappréciation de lacceptabilité de la démarche de réduction du risque à la source (démarche MMR) bien quils soient exposés, même pour les effets de surpression ou thermiques rapides, ce qui devrait limiter les difficultés liées à la proximité dindustries.
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Il est souhaité que soit précisé que les deux fiches ne sont utilisables que pour les stockages de propane et butane hors raffineries et pétrochimie.
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Le titre des fiches a été modifié pour lever toute ambiguïté.
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Le niveau de détail du questionnement que ces documents suggèrent paraît coûteux en temps.
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Les BLEVE et les UVCE sont des phénomènes complexes quil ne serait pas prudent de trop simplifier, ces documents nont pas pour vocation à transformer les lecteurs en spécialistes de la modélisation mais à leur donner les éléments de compréhension indispensables pour la lecture des études de dangers. Elles peuvent être également utilisées par les acteurs comme support de communication en CLIC, CHSCT, S3PI,
et notamment pour expliquer les incertitudes des modélisations (hypothèses, conditions météos, différents modèles,...) et le fait que les valeurs annoncées ne sont quun ordre de grandeur.
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Seule la " méthode multi-énergie " est présentée dans la fiche UVCE. Est-ce que cela suppose que lutilisation des méthodes CAM (CATES) et Baker-Strehlow nest pas pertinente ?
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Seule la méthode Multi Energy est présentée par souci d'avoir une fiche pas trop longue. Ceci étant, les méthodes CAM et Baker Strehlow sont tout à fait recevables, dans la mesure où elles sont fondées sur la même démarche. Les trois méthodes sont comparées dans (Mouilleau 1999) référencé en fin de fiche - La fiche ne recommande pas spécifiquement la méthode Multi-Energy, mais plutôt une méthode fondée sur le concept d'individualisation des explosions (ce qui est écrit à la fin de la p.10).
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Questions sur le choix des secteurs angulaires (90° pour les toxiques et 60° pour les inflammables dans la version consultation).
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Choix " arbitraire " certes, mais maintenant de 60° quelles que soient les propriétés du gaz. Comme pour de nombreux éléments des fiches, il subsiste évidemment la possibilité pour lexploitant de démontrer quun autre angle est plus approprié aux phénomènes dangereux pouvant se produire sur son site.
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Craintes pour la saisie de formes " bizarres " dans Sigaléa® et sur le cumul des phénomènes en fonction des directions de vent.
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La fiche explique que les zones deffets sont des cercles, indépendantes de la direction du vent, et non des panaches (pour laléa), ce que Sigalea® sait gérer.
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application aux feux torches également
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Non, les feux torches sont certes directionnels mais ne résultent pas dune dispersion, la direction dépend plus de la géométrie de la " fuite ".
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Sur la taille du secteur angulaire : 90° = très majorant. et 45° un peu minorant en champ très proche
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finalement, nous avons retenu un angle de 60°
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classes stabilités F3 et D5 (pas toujours représentatives, et pas cohérentes avec la responsabilité de l'industriel du choix de ses paramètres)
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référence enlevée
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ne permettre la prise en compte des conditions météo que si bien connues pour le site
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précision apportée
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Problème de la disponibilité des données sur les conditions météo (surtout classe de stabilité)
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Si pas dinfo, option 1-A doffice, pas de probabilité sur la météo
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Regret que la cinétique ne soit pas mentionnée
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pas explicitement, certes, mais la protection des personnes peut être prise en compte cf. art 10 PCIG
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Demande dexplications sur la " correction judicieuse " en cas dabsence dindépendance des trois variables météo (stabilité, vitesse, direction)
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Précision apportée
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questions sur le coefficient 1.1* LII pour les effets irréversibles, peut-être adaptés pour le GPL mais pas nécessairement pour dautres gaz de réactivité différente
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Cette fiche est principalement axée sur les GPL, comme précisé dès la page de garde.
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UVCE : ne pas oublier le cas de lexplosion en champ libre
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fiche revue et complétée sur ce point
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Cas des installations à fort encombrement: permettre le regroupement des UVCE par zone encombrée, quelle que soit lorigine du nuage
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Modification apportée, en précisant quil convient alors de cumuler les probabilités des différentes fuites alimentant les nuages pouvant remplir la zone. Dans ce cas, les distances deffets peuvent être comptées à partir du centre de la zone encombrée.
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Questions sur la prise en compte des points singuliers (vannes
) sachant que cette fiche ne concerne que les " tubes "
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A traiter au cas par cas, il sagit alors déquipements ponctuels et non continus, ce nest pas lesprit de la fiche.
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Demande dune approche similaire pour les groupes déquipements comparables, et non uniquement pour les tuyauteries
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dans lidée, ce type de regroupement est tout à fait possible mais ne nécessite pas de fiche
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Lourdeur de la démonstration du terme source (si supérieur à une guillotine
)
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certes, mais il doit être défini
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Sur la gravité des accidents découlant dune fuite, le cumul des probabilités sur les tronçons pouvant engendrer une fuite dont la résultante en terme de gravité serait comparable est refusé, du fait du mode de construction des BDD. Il en est de même pour une canalisation de transport (plusieurs km) engendrant des effets de quelques centaines de mètres.
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Ces remarques sont certes justes, mais ce nest pas lobjet de cette fiche, les probabilités étant considérées comme connues en préalable à cette fiche.
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Suggestion de traiter séparément le cas des canalisations aériennes de celui des canalisations enterrées.
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La précision a été apportée, cette fiche ne sapplique effectivement pas directement aux tuyauteries enterrées.
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Question sur une fiche similaire pour les " barrières techniques ".
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Ce nest pas prévu : les textes réglementaires, dont larrêté ministériel du 29 septembre 2005, précisent les critères qui permettent de retenir les mesures de sécurité.
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Insistance sur la notion de disponibilité des équipes pour réaliser les actions de sécurité et sur lindépendance entre ces actions et la conduite normale du process.
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Ce point a été ajouté à la fiche.
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La mention du caractère non réglementaire de cette fiche laisse entendre que les autres fiches sont réglementaires.
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Le statut des fiches est précisé dans la circulaire de diffusion.
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Des travaux sont en cours sur le sujet à lICSI (signaux faibles), Il est proposé de créer un GT MEDD avec lINERIS.
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Un groupe de travail national Facteur Humain-SGS existe au sein du MEDD depuis juillet 2005, réunissant lINERIS et lIRSN : lICSI a dailleurs été conviée en 2005. Le MEDD est intéressé par des échanges sur le sujet des signaux faibles.
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Incompréhension du refus de considérer le POI comme mesure en tant que telle.
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On ne retient que des interventions précises (éventuellement mises en uvre dans le cadre du POI) qui sopposent à lenchaînement incontrôlé des évènements (mesures assurant concrètement une fonction de sécurité).
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La fiche sous estime le niveau de confiance des mesures humaines. En particulier, un point concerne les différences de traitement entre des opérations routinières ou non avec les corrections à apporter pour chaque situation. Il est ajouté que le règle de cotation du niveau de confiance de mesures de rattrapage de la dérive dau maximum " 1 " va à lencontre du niveau de formation et de préparation à réagir dans des conditions incidentelles. Elle pourrait privilégier indirectement des systèmes techniques de maîtrise : matériels de mesure, automates
. Elle ne prendrait pas en compte laction de plusieurs personnes qui peuvent se suppléer (ex :équipiers incendie
). Mêmes remarques pour les mesures de pré-dérive : la conduite des centrales repose pour une grande part sur la " connaissance terrain " qui complète avantageusement les dispositifs de surveillance technique et les automates. La cotation " 1 " ou " 2 " est globalement réductrice, même si elle est adaptable aux cas simples.
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La question des niveaux de confiance que lon peut attribuer à ces mesures de sécurité a été tranchée après des consultations, sur la base dexpertises et après analyse de la littérature disponible sur ce point, notamment sur le comportement humain en cas de situation anormale et/ou de stress.
Rappelons quune cotation à 1 signifie que lindividu agit efficacement, au moment opportun, avec la procédure opportune 9 fois sur 10 en cas de sollicitation. Une cotation à 2 signifie 99 fois sur 100.
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Demande générale de précision sur la notion de " tiers " pour les mesures de pré-dérive.
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La notion de tiers fait référence à limplication ou non dans le process de production et/ou dans les opérations qui peuvent connaître une dérive.
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Il convient également dapprécier :
- ladéquation de la documentation,
-ladéquation de lorganisation (charge de travail, clarté des missions, etc.)
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Ce commentaire a été repris.
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Les notions de pré-dérive et de la notion de rattrapage divergeraient dans la note (rattrapage de dérive avant ou après ERC, positionnement des dérives : dérives par rapport au fonctionnement en sécurité ?).
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Ce pointa été clarifié dans la fiche.
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Cas des " mesures symboliques " Il faudra tenir compte des barrières symboliques dans les études de dangers.
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Un paragraphe sur les barrières symboliques (interdiction de fumer, etc.) a été ajouté : leur performance sera évaluée comme des mesures de pré-dérive.
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Les permis d'intervention / permis de feu concernant des interventions directes sur des installations à grand potentiel de danger (sphère d'ammoniac par exemple) posent problème.
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Ces interventions sont généralement rares et les dangers, très connus, de ce type dintervention, sont analysés suffisamment à lavance pour que lon puisse considérer que :
-si toutes les mesures techniques et organisationnelles possibles sont définies et mises en place ;
- si leur application est contrôlée,
alors l'événement initiateur correspondant à la mesure d'interdiction devra figurer dans les études de dangers, mais sans cotation de la probabilité (" on coupe le scénario " dans lévaluation de la fréquence doccurrence du phénomène dangereux).
Une restriction importante est apportée à cette exclusion : celle-ci ne concerne que lintervention directe sur des installations très dangereuses (stockages de produits toxiques et très toxiques surtout) : les interventions courantes, les actions entreprises au sein dinstallations A dont le potentiel de danger, certes réel, est moindre (silos en particulier) ne sont pas concernées. Cette exclusion pourra aussi être remise en cause si laccidentologie sectorielle démontre linsuffisance de la fiabilité des mesures de sécurité prises lors de cette intervention.
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Suggestion dautres évènements devant être traités de manière particulière :
- équipements soumis aux règles de suivi du TMD (comme réglementation ESP) exemple : wagons de chlore
- malveillance
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- Non, laccidentologie est moins convaincante.
- déjà exclu de lAM du 10 mai 2000 modifié et hors des compétences MEDD.
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lien difficile entre les deux paragraphes, lun stipulant que le respect de la réglementation est " suffisant ", lautre que des mesures complémentaires peuvent être exigées
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rédaction revue
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Question sur la prise en compte des chutes davion
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travail en cours (cf remarque similaire sur la fiche n°1)
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Evolution de la sur les inondations, en labsence de PPRI
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Même règle que celle déjà applicable depuis plusieurs années pour le dimensionnement des installations pour résister aux crues.
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Question sur la mise en conformité suite à modification des règles (ex inondations) car souvent irréaliste.
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Lexploitant doit se mettre en conformité (éventuellement avec un délai) avec les nouvelles exigences des normes et de la connaissance humaine. A défaut, lévénement initiateur correspondant (par exemple la crue centennale avec une probabilité de 10-2) devra être réintégré.
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ESP : questions diverses sur la durée de vie, prise en compte à travers les dérogations (sous conditions de durée)
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La " clause de rendez-vous " nest pas réservée aux ESP
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